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Groupe de manifestants avec un drapeau rouge avec insigne Marteau et Faucille jaune (communiste)

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Nazis not welcome here

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Alors que la soirée ciné antifa de #YougStruggle a été attaqués à 20h30 par des néofascistes aux cris de Paris est nazi ; l' #UnionCommunisteLibertaire et son réseau anarkismo.net rend hommage à #OmarAziz et t'invite à télécharger #TheSyrianRevolution (En/Ar) et aller aux événéments commémoratifs.

rememberomaraziz.net

« Omar Aziz a dit à ses amis : “Si la révolution échoue, ma vie et celle de toute ma génération seraient dépourvues de sens... Tout ce dont nous avons rêvé et cru n'aurait été qu'illusion.“ Il est décédé avant d'avoir vu le triomphe de la révolution et d'avoir récolté les fruits de son œuvre. Les Syriens qui sont encore en vie doivent une dette énorme à Omar Aziz et aux dizaines de milliers de martyrs syriens. C'est une dette qui ne peut pas être payée avec des larmes et des hommages émouvants. Rien d’autre ne suffirait que de se battre pour une Syrie libre. »

À l’occasion des 12 ans de la mort d’Omar Aziz le 16 février, les libertaires syrien·nes et internationalistes lance un appel à puiser dans cette figure révolutionnaire des enseignements pour la suite de la révolution syrienne, et à redécouvrir les textes de révolutionnaires syriens dans un ouvrage librement accessible.1

« Un nouveau départ a aussi besoin d'une nouvelle feuille de route, d'une nouvelle direction pour continuer à avancer. Nous voulons avancer ensemble. Pour cela, il faut d'abord se retrouver, se reconnaître, s'orienter dans ces nouvelles coordonnées. »

Omar Aziz, anarchiste syrien né en 1949 et mort en 2013, avait en effet rejoint sa Syrie natale dès le soulèvement de 2011 et s’était investi dans la création de conseils locaux – dans la banlieue de Damas – supposés devenir l’embryon du nouveau pouvoir populaire contre l’État de Bachar Al Assad. Ces comités populaires des premiers jours de la révolution, qui avait été le lieu d’une démocratie directe, même si limitée, furent dans les années qui suivirent écrasés par la répression étatique mais aussi phagocytés par des oppositions islamistes. Omar Aziz publia en 2011 l’ouvrage Les Comités locaux de coordination en Syrie pour théoriser les premiers moments de cette expérience.

Omar Aziz fut arrêté dans sa maison à Mezzeh en novembre 2012 et mourut l’année suivante à l’âge de 63 ans.

1 - https://rememberomaraziz.net/

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Le #4mars à 18h aura lieu une conférence débat Santé & #ExtremeDroite à la fac des Tanneurs à #Tours. Organisée par le RAFT (auquel participe l' #UnionCommunisteLibertaire 37), interviendront RESF37 sur l'AME, le Réseau Féministe sur l'accès à l'IVG et l'OST sur l'accès aux soins. raft@systemli.org

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Aujourd'hui pour 100 briques, t'as plus rien. Ah si, un plateau de télé et un bureau présidentiel.

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OK, la technique casse pas des briques, mais sentir sa voix portée c'est bon pour l'égo.

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De nos jours, syndicat et grève forment un couple indissoluble et inégal. Le syndicat a l’initiative et la maîtrise ; les actions nées hors de lui paraissent sinon suspectes, du moins inquiétantes, signes de malaise plus que gage de santé. Dans la gamme étendue de ses activités, où les fonctions de représentation, de négociation, de bargaining, sont devenues primordiales, la grève n’est que seconde, subordonnée, d’aucuns disent mineure. Mai 1968, irruption de la « base », surrection du désir, a constitué une rupture provisoire d’équilibre dont il est encore difficile d’apprécier la portée : résurgence sans lendemain ? Sentinelle de nouveaux comportements ? Pour le présent, le syndicalisme gouverne.

Aux origines du syndicalisme, la situation est toute différente. La grève règne. Forme majeure du mouvement ouvrier, elle est l’expression directe, non méditée, du mécontentement ou de l’espoir d’en bas. Elle n’est pas nécessairement liée à une organisation : 41 % des conflits ici étudiés n’en comportent aucune trace particulière, pour la plupart, il est vrai, grèves subites, bref feu de paille auquel le temps a manqué. Leur lueur laisse entrevoir de fugitives silhouettes, qui prêtent leur visage et leur voix à la révolte ouvrière : la leur. C’est l’ère des « meneurs », ardents mais éphémères, vite usés, vite renouvelés, sans projets comme sans prudence, aux antipodes du « permanent ».

Dans le cas de grèves organisées, néanmoins majoritaires (59 %), la grève commande à l’organisation ; elle sécrète ses propres formes ; le syndicat lui-même n’est souvent que sa créature, né par et pour elle, vivant de son succès, mourant de son échec ; et s’il tend à s’affranchir de sa tutelle, à s’affermir, c’est encore pour mieux servir les nécessités de son assomption dans la grève générale.

Perrot, M. (2001). "Chapitre II. La conduite de la grève : les organisations" dans Les ouvriers en grève. Tome 2. Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, Éditions Mouton, Publications de l’École Pratique des Hautes Études.


Je n'ai pas de propos tout fait particulier à avancer, que ce soit pour la spontannéité totale, ou pour un centralisme absolu. Juste que c'est bon à savoir ce qui a pu se passer, et que la grève n'est pas qu'une décision qui vient d'en haut.

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OK, la technique casse pas des briques, mais sentir sa voix portée c'est bon pour l'ego.

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Genre tranquillement, en commençant sur la politique, puis en proposant des scénarios comme « et si Le Pen était élue et qu'on te demande de participer à la délation des immigrés dans ton travail, tu en dirais quoi ? »

Tant qu'il n'y a pas de menace directe, je suspecte que les gens seraient plus à même de dire « oui j'essaierais de pas suivre les ordres ». Ça pose déjà un certain engagement psychologique de le dire à un·e proche, et augmente la probabilité d'agir.

Ensuite il y a les développements de l'idée. Selon le profil de la personne, on peut proposer plusieurs choses. Pour un profil qui aime la culture légitime et est peu porté sur la contestation normalement, ça pourrait passer assez facilement de recommender Le discours sur la servitude volontaire (il y a plein de lectures à voix haute, j'en ai aucune en particulier à recommander).

Un site que j'aime bien c'est https://beautifultrouble.org/toolbox/fr Utilisez les catégories pour filtrer par type de fiche : tactiques, théories…

Diffuser des idées, mêmes basiques, est très important. Comme ça on a une réponse face à des choses qui seraient autrement sidérantes, comme ce que font Musk et Trump aux US.

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submitted 10 months ago* (last edited 10 months ago) by inlandempire@jlai.lu to c/gauchisse@jlai.lu
 
 

Isolé, détesté et privé de poids politique, le président de la république tente désespérément de peser à deux ans de sa fin de mandat. Off Investigation a enquêté sur les coulisses d’un palais présidentiel « où les courtisans restants se déchirent ».

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Faute de voir la vie en rose, voyons la vie en jaune.

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Le socialisme selon Jean Jaurès (www.monde-diplomatique.fr)
submitted 10 months ago* (last edited 10 months ago) by inlandempire@jlai.lu to c/gauchisse@jlai.lu
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Aujourd'hui pour 100 briques, t'as plus rien. Ah si, un studio de télé et un bureau présidentiel.

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submitted 10 months ago* (last edited 10 months ago) by inlandempire@jlai.lu to c/gauchisse@jlai.lu
 
 

LFI est en conférence de presse pour présenter l'actualisation de son programme, déjà disponible à l'adresse du post, ils y expliquent leur méthodologie ici https://www.youtube.com/watch?v=25lLr3vUlws

TL;PL Rédigé par LFI et ~40 groupes locaux, 4 Grandes parties, 18 Chapitres, début d'une consultation extérieure (acteurs sociaux, syndicats) pour le confronter à la réalité

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La rage (édito)La rage quand on nous parle de déficit budgétaire alors qu’un tiers de la fortune de Bernard Arnault suffirait à le combler.La rage quand Barnier veut tronçonner le budget des services publics, alors que des élèves de Seine-Saint-Denis font cours sans chauffage en plein hiver.La rage quand après la censure du gouvernement, Macron nous dit à la télé qu’on l’a encore mal compris.La rage quand un article du Monde nous apprend que ce même Macron parle sans honte de «  Mamadous  », de « rabzouz » et de « petits pédés » dans les salons de l’Élysée.La rage quand des milliers de travailleuses et de travailleurs sont menacé·es de perdre leurs emplois alors que les actionnaires de leurs entreprises se gavent de dividendes.La rage quand la seule réaction des institutions après la libération de la Syrie est de s’attaquer au droit d’asile des syrien·nes réfugié·es.La rage quand Bayrou préfère aller se promener à Pau en Falcon que de s’inquiéter de l’état de Mayotte dévastée. La rage quand Retailleau parle d’immigration alors que les mahorais·es et les comorien·nes comptent leurs mort·es. La rage quand Macron vient leur expliquer qu’ils et elles pourraient quand même être heureux·ses d’être français·es.La rage quand un génocide continue à Gaza depuis plus d’un an avec le soutien tacite des gouvernements occidentaux.Il n’y a pas toujours besoin de grandes théories pour comprendre la critique de l’État et du capitalisme  : il y a des jours où la rage qu’ils nous inspirent suffit à nous faire sentir dans nos chairs l’urgence de les réduire en cendres.

UCL, 20 décembre 2024

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La rage (édito) (www.unioncommunistelibertaire.org)
submitted 10 months ago by ucl37@jlai.lu to c/gauchisse@jlai.lu
 
 

La rage quand on nous parle de déficit budgétaire alors qu’un tiers de la fortune de Bernard Arnault suffirait à le combler.

La rage quand Barnier veut tronçonner le budget des services publics, alors que des élèves de Seine-Saint-Denis font cours sans chauffage en plein hiver.

La rage quand après la censure du gouvernement, Macron nous dit à la télé qu’on l’a encore mal compris.

La rage quand un article du Monde nous apprend que ce même Macron parle sans honte de «  Mamadous  », de « rabzouz » et de « petits pédés » dans les salons de l’Élysée.

La rage quand des milliers de travailleuses et de travailleurs sont menacé·es de perdre leurs emplois alors que les actionnaires de leurs entreprises se gavent de dividendes.

La rage quand la seule réaction des institutions après la libération de la Syrie est de s’attaquer au droit d’asile des syrien·nes réfugié·es.

La rage quand Bayrou préfère aller se promener à Pau en Falcon que de s’inquiéter de l’état de Mayotte dévastée. La rage quand Retailleau parle d’immigration alors que les mahorais·es et les comorien·nes comptent leurs mort·es. La rage quand Macron vient leur expliquer qu’ils et elles pourraient quand même être heureux·ses d’être français·es.

La rage quand un génocide continue à Gaza depuis plus d’un an avec le soutien tacite des gouvernements occidentaux.

Il n’y a pas toujours besoin de grandes théories pour comprendre la critique de l’État et du capitalisme  : il y a des jours où la rage qu’ils nous inspirent suffit à nous faire sentir dans nos chairs l’urgence de les réduire en cendres.

UCL, 20 décembre 2024

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OK la technique casse pas des briques, mais sentir sa voix portée, c'est bon pour l'ego.

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L’accord de cessez-le-feu signé entre l’Etat d’Israël et la résistance Palestinienne, qui prendra effet le 19 janvier, signe un immense soulagement, après 467 jours de destruction génocidaire de la bande de Gaza. Israël a échoué à détruire militairement la résistance, et à conquérir le Nord de Gaza. Les survivant-es qui ont fui pourront enfin revenir sur leurs terres, et reconstruire. Une nouvelle résistance ressurgira, engendrée par la révolte et le désespoir de tout un peuple. Les termes de l’accord sont très proches de la proposition déjà acceptée par le Hamas en mai 2024. L’administration Biden, aurait pu obtenir un cessez-le-feu bien plus tôt si elle n’avait pas fait le choix de poursuivre le génocide. Sa responsabilité est immense. Le cessez-le-feu n’est ni la paix ni la libération. A l’heure où nous écrivons, les bombardements se poursuivent et même s’amplifient à Gaza. Même après le 19, la torture des dizaines de milliers d’otages Palestiniens, les attaques contre Jénine avec la collaboration de l’Autorité Palestinienne, l’occuapation de la Palestine, ne cesseront pas. Notre solidarité ne doit pas faiblir, tant que toute la Palestine n’est pas libérée, et que les réfugié-es Palestinien-nes n’ont pas le droit au retour sur leurs terres.

Fin de l'apartheid, fin du colonialisme ! Pour un pays unique, laïc, démocratique, de la mer au Jourdain ! Palestine vivra, la Palestine vaincra

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