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Vendredi #12decembre rencontre débat chez Lattie 110 rue Edouard Vaillant à #Tours : Guillaume d'Avranche viendra présenter son #mustread 10 questions sur l'anarchisme déjà traduit en anglais, grec et brésilien en attendant la traduction en arabe début 2026 https://www.helloasso.com/associations/editions-libertalia/collectes/pour-la-traduction-et-la-diffusion-en-arabe-de-dix-questions-sur-l-anarchisme

 

Multiplication d'établissements hors contrats, notamment en région Centre www.unioncommunistelibertaire.org/?Projet-PERICLES-Sterin-met-la-main-sur-le-sud-Loir-et-Cher, attaques contre l' #EVARS, etc. Conférence RAFT le #7octobre à 18h, salle 112 fac des Tanneurs à #Tours.

 

Multiplication d'établissements hors contrats, notamment en région Centre www.unioncommunistelibertaire.org/?Projet-PERICLES-Sterin-met-la-main-sur-le-sud-Loir-et-Cher, attaques contre l' #EVARS, etc. Conférence RAFT le #7octobre à 18h, salle 112 fac des Tanneurs à #Tours.

 

https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Projet-PERICLES-Sterin-met-la-main-sur-le-sud-Loir-et-Cher

Projet PERICLES : Stérin met la main sur le sud 41

Le tentaculaire projet PERICLES (Patriotes, Enracinés, Résistants, Identitaires, Chrétiens, Libéraux, Européens, Souverainistes), dévoilé à l’été 2024 par l’Humanité [3], connaît une nouvelle illustration en cette rentrée 2025. L’ouverture d’un établissement hors contrat à Nouan-Le-Fuzelier, en plein cœur de la Sologne, avec comme but non avoué de former les futurs cadres de la droite (la plus) extrême fait polémique.

Depuis une dizaine d’années, la mouvance intégriste multiplie les ouvertures d’établissements, souvent hors contrat, partout en France et particulièrement dans la région Centre-Val-de-Loire. L’an dernier, le projet de regroupement des « œuvres » de l’intégriste Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX) à Chanceaux-sur-Choisille, au nord de Tours, a suffisamment cristallisé les peurs pour être sous surveillance de la Préfecture… qui a toutefois laissé faire.

Séparatisme de classe

Jusqu’à récemment, c’était la Fondation pour l’école, créée en 2008 et plusieurs fois lauréate de la Nuit du Bien Commun (voir encadré), qui était à la manœuvre. Elle a versé plus de 50 millions d’euros, pour la période 2008-2020 (d’après son site internet) à des projets et établissements scolaires dits « libres », c’est-à-dire hors contrat. Désormais, Stérin ne se contente plus de financer mais lance son propre projet avec les Académies Saint-Louis : celles-ci sont soutenues par les Associations familiales catholiques, Saint-Joseph Éducation – dont il reprend la charte pour l’éducation intégrale – et... la Fondation pour l’école !

L’Académie Saint-Louis de Chalès, collège catholique à la non-mixité revendiquée par son très homophobe directeur Jean-Cyrille Péroteau [1], a été validée le 18 juillet par le rectorat, date tardive pour une rentrée en septembre. L’établissement, dont le fonctionnement en capitainerie s’inspire des houses de l’ultra select Eton College, prévoit d’accueillir une soixantaine d’élèves pour un coût annuel de 4 500 euros à 14 500 euros selon le quotient familial ! Avec le projet à moyen terme d’ouvrir une académie par région, la visée est évidemment élitiste quand on sait que le second degré compte environ 5,65 millions d’élèves. Ajoutons le financement de l’association de gestion du groupe scolaire par de « généreux donateurs » (avec nos impôts grâce aux déductions fiscales [2]) tel Stérin (principal donateur) et la boucle est bouclée. En bref, une nouvelle étape de « la colonisation de la Sologne par les ultra riches » comme le décrit Jean-Baptiste Forray dans Les nouveaux seigneurs (Les Arènes, 2024).

Certaines voix s’élèvent néanmoins contre le projet. « Philanthropie ne rime pas avec démocratie » : c’est ce qu’indique en résumé la lettre du 8 juillet envoyée au recteur, au préfet et au procureur de la République. Signée par plusieurs dizaines d’organisations et 160 personnalités, la missive de deux pages s’opposant à l’ouverture de l’établissement détaille les dangers prévisibles et les entourloupes déployées pour tromper le rectorat qui n’en est pourtant pas à son premier cas problématique.

Un agenda réactionnaire

Le groupe scolaire privé hors contrat de La Martinerie, situé à Déols (nord de Châteauroux), est un cas d’école. Ainsi cet extrait du rapport d’inspection de mars 2022 s’applique parfaitement au projet de Chalès qui a pourtant le plein soutien du maire de Nouan-Le-Fuzelier : « L’absence totale de mixité, le passéisme revendiqué, la prégnance de la religion maintiennent les élèves dans un entre-soi qui ne leur permet pas de développer leur esprit critique ni de se forger leur propre opinion ». Malgré le scandale Bétharram, encore frais, les services rectoraux ont pourtant dit oui sans réserve. Il se peut que les méthodes juridiques très agressives propres à la mouvance intégriste (de Stérin à la FSSPX) aient mis sous pression les services de l’Éducation nationale. Néanmoins, c’est avant tout un choix ouvertement politique qui a été fait dans une académie gravement gangrénée par un réseau d’établissements hors contrat en pleine expansion. Après le scandale autour des Nuits du Bien commun, la nébuleuse Stérin aurait probablement été moins agressive même si, évidemment, l’ouverture de ce premier établissement a valeur de crash test à ne pas rater. Or, silence radio du côté de la Préfecture du Loir-et-Cher alors que celle du Gers a pris un arrêté le 8 avril pour fermer jusqu’à la fin de l’année une école hors contrat formant à « la contre-révolution catholique ». Cet été, l’association Transmissio, qui organise au domaine de Chalès « des vacances avec le bon Dieu », relève de cette même mouvance. Dans ce cadre sont prévues deux conférences aux titres évocateurs : « la loi naturelle au défi de la laïcité » et « le piège de la laïcité » ; la préfecture attend-elle un retour de ces journées pour agir enfin ?

Nico (UCL Tours)

LA NUIT DU BIEN COMMUN : CHARITÉ BIEN ORDONNÉE...

Fondée en 2017 par les hommes d’affaires Pierre-Édouard Stérin, Stanislas Billot de Lochner, et Thibault Farrenq, la Nuit du Bien Commun est un fonds de dotation qui se décrit comme « le tremplin des associations qui bâtissent l’avenir ». En réalité, il s’agit d’une organisation philanthropique mettant en lien de riches conservateur·ices et des initiatives dont le fonds idéologique va du conservatisme à l’extrême droite pur jus. Depuis 2021, on trouve notamment à sa présidence Louis de Bourbon, le très royaliste prétendant au trône de France. Le fonds étant reconnu « d’interêt public », il permet aux donateurs et aux donatrices de bénéficier d’une déduction fiscale de 66 % du montant de leur don.

Parmi les projets soutenus, outre des établissements privés hors contrat, on trouve l’Institut libre du journalisme, conçu pour former des journalistes conservateurs, et faisant notamment intervenir Geoffroy Lejeune (directeur de la rédaction du JDD, ancien de Valeurs actuelles). Mais aussi des associations anti-IVG comme Maman vogue, et une myriade d’initiatives catholiques plus ou moins radicales. Dans la droite ligne de la charte du Bien Commun, qui prône une politique chrétienne, antiprogressiste et nataliste.

Au fil des années, l’évènement a pris une ampleur considérable. La dernière édition se tenait en décembre 2024 à l’Olympia, et à permit de récolter 1,4 million d’euros. Mais au-delà de l’argent, ces évènements sont aussi de véritables incubateurs servant à renforcer les réseaux de l’extrême droite et à consolider son unité.

[1] En 2015, alors chef d’établissement de Notre-Dame-des-Aydes à Blois, Jean-Cyrille Péroteau annule la séance ciné organisée par Ciné’fil projetant Pride de Matthew Warchus et se fait épingler par SOS Homophobie : voir Anne Richoux, « Cachez ce film que je ne saurais voir », La Nouvelle République, édition Loir-et-Cher, 14 janvier 2015 ; Julien Massillon, « Pourquoi un chef d’établissement a interdit à des élèves de voir “Pride” », Komitid, 16 janvier 2015.

[2] Voir le rapport de la Cour des comptes du 20 octobre 2020 consacré à SOS Éducation et citant plusieurs fois la Fondation pour l’école.

[3] Thomas Lemahieu, « Projet Périclès : le document qui dit tout du plan de Pierre-Édouard Stérin pour installer le RN au pouvoir », L’Humanité ; voir aussi la série « Pierre-Édouard Stérin, saint patron de l’extrême droite française ».

 

Pour le #8septembre, l'AG de préparation du #10septembre a lancé un appel à rassemblement à 20h devant la mairie de #Tours : ce pot de départ est une étape pour construire la #GreveGenerale, retrouvez y l' #UnionCommunisteLibertaire !

 

Face à l’offensive génocidaire sur #Gaza, amplifier la solidarité avec le peuple Palestinien (communiqué #UnionCommunisteLibertaire) https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Face-a-l-offensive-genocidaire-sur-Gaza-amplifier-la-solidarite-avec-le-peuple

#Palestine : ouvrez Gaza, cessez-le-feu immédiat ! (communiqué #CNPJDPI) https://cnpjdpi.org/Palestine-ouvrez-Gaza-cessez-le-feu-immediat.html

#StopGenocide

 

https://unioncommunistelibertaire.org/?Contre-la-casse-sociale-tout-le-monde-dans-la-rue-le-10-septembre

Le gouvernement Bayrou reprend le flambeau de ses précédesseurs et tente d’imposer brutalement de nouvelles mesures de casse sociale. Mais la réaction de notre camp social se prépare.

Face à l’annonce d’un budget profondément antisocial, des appels à se réunir le 10 septembre circulent depuis quelques semaines sur les réseaux sociaux, et des syndicats ont déjà posé des préavis de grève, comme les fédérations CGT des industries chimiques et du commerce.

Mi-juillet, Bayrou a annoncé un grand plan d’austérité pour le pays, avec comme objectif d’amputer de 44 milliards d’euros les services publics et la sécurité sociale. Il veut supprimer plus de 3000 postes dans des services publics déjà exsangues, diminuer toujours plus la couverture de l’assurance maladie en supprimant la prise en charge de médicaments ou encore supprimer deux jours fériés. Tout cela au profit des capitalistes et d’une augmentation massive du budget des armées.

Le 10 septembre, à nous d’imposer des mots d’ordre pour nos droits sociaux et contrer l’accaparement des richesses par la bourgeoisie ! Bien sûr, l’extrême droite, soutien précieux de Bayrou, aimerait jouer un double-jeu et se faire une place dans le mouvement social qu’elle attaque pourtant. Ne lui laissons pas de place pour diviser la lutte ! Partout où c’est possible, posons d’emblée la revendication de 3 jours de grève pour imposer un réel rapport de force, car les manifestations isolées et la grève perlée épuisent sans créer de résultats. Seule une mobilisation massive et tenue dans le temps pourra faire plier le gouvernement.

Contre la casse sociale, tout le monde dans la rue le 10 septembre !

 

L' #UnionCommuniste Libertaire est signataire de Indignés par la famine et le génocide à #Gaza, Manifestons notre solidarité au cœur de l’été ! Cessez-le-feu immédiat, ouvrez Gaza ! Sanctions contre Israël ! https://cnpjdpi.org/Indignes-par-la-famine-et-le-genocide-a-Gaza-Manifestons-notre-solidarite-au.html Nous restons mobilisé·es avec nos orgas soeurs d' anarkismo.net

NB : concert à 19h au 109, 55 rue du commerce de Spoonbenders (Rock psyché, #Portland), tous les bénéfices sont reversés au collectif Solidarité avec la Palestine 37. Rdv ce samedi 18h (retour à 15h en septembre) pl. Jean Jaurès

 

Nous apportons tout notre soutien à nos camarades de la Jeune Garde que le gouvernement a décidé de dissoudre. Cette attaque est un coup porté à l’encontre de tout notre camps social !

Le couperet est tombé : la dissolution du groupe antifasciste la Jeune Garde a été prononcée ce jeudi 12 juin.

Même si la Jeune Garde a annoncé vouloir déposer un recours devant le conseil d’État, le mal est fait. En dépit de ses nombreux soutiens et de la présence de son ancien porte-parole à l’Assemblée nationale, rien n’a pu dissuader le pouvoir d’aller au bout de cette dissolution.

Ce n’est pas la première attaque contre le mouvement antifasciste mais celle-ci est d’une ampleur nouvelle : la Jeune Garde, c’est plusieurs années d’existence, une implantation dans cinq grandes villes, une organisation qui défile à visage découvert et drapeaux déployés. Cette dissolution est une déclaration de guerre à tous les antifascistes, dans une inversion irréversible des valeurs de l’appareil d’État républicain.

Nous sommes attérré·es mais nous ne sommes pas surpris·es : si l’extrême droite n’a pas encore pris le pouvoir, ses idées, elles, sont déjà au gouvernement. Bruno Retailleau a agi en service commandé par le RN qui portait cette demande depuis des mois. En appuyant cette démarche, il place une épée de Damoclès au-dessus de la tête de toutes les organisations qui engagent ou engageront demain, de manière déterminée et radicale, la lutte pour empêcher l’extrême droite de prendre nos rues, nos quartiers et nos villes.

Bien entendu, nous ne baisserons pas la tête ni les bras, d’autres collectifs fleuriront, d’autres groupes, d’autres réseaux qui continueront à se coordonner, à agir, et à contrer l’extrême droite dans les têtes, les rues et les urnes.

Nous, militant·es communistes libertaires, sommes déterminé·es à faire notre possible pour continuer le combat antifasciste partout où nous sommes, aux côté de nos camarades à qui nous adressons notre entière solidarité.

Plus que jamais antifascistes !

 

Notre tract : L’avion qui détruit la forêt dénonce les agrocarburants

Face à l’urgence climatique, la réponse de l’Etat est toujours la même : préserver les institutions capitalistes avant tout.

L’aviation commerciale représente plus de 5% du réchauffement climatique sur la période 2000-2018. Pour répondre aux exigences institutionnelles de réduire les utilisations d’énergies fossiles, le secteur aéronautique a donc trouvé la solution « parfaite » : détruire les forêts pour fabriquer du kérosène biosourcé.

Agrocarburants : fausse solution mais vrai capitalisme

Pour justifier ce projet, les entreprises mobilisent l’argument de la protection de l’environnement qui fait sensation auprès des institutions accordant permis et subventions. La production visée d’ici 2028 est de 75 000 tonnes de carburant soit à peine 1 % de la consommation française de kérosène. Ces objectifs nécessiteront l’installation d’usines où environ 400 000 tonnes de bois seraient approvisionnées, en plus des 200 000 déjà prélevées par le département. Soit, selon Forêt Vivante, 4,2% du volume total du bois des forêts du département alors que les forêts ne croissent que de 2,8% chaque année !

Un projet destructeur dont les analyses mobilisées par ses porteurs sont vivement contestées. En effet, en récoltant le bois, ce sont des milliers de tonnes de CO2 qui seront déstockées. Ces arbres coupés ne pourront pas non plus en stocker de nouveau. La régénération d’arbres prendra plus d’une vingtaine d’années pour recommencer à absorber la même quantité de CO2 que celle déstockée. La transition énergétique mise en avant par ce projet est donc hypocrite puisqu’elle continuera d’émettre des quantités importantes de CO2 mais surtout elle est irréalisable sans mettre en danger l’ensemble des forêts française ! Ce n’est pas le carburant qu’il est crucial de changer mais bien contester l’intensité du trafic aérien.

Le plus important, c’est que cette opération de greenwashing du transport aérien rapporte. L’entreprise Elyse porteuse du projet E-CHO a perçu plus de 8 millions d’euros de subventions publiques et en demande 2 milliards de plus aux actionnaires. Voilà où va une partie de l’argent public : dans une solution de façade qui ne sert encore une fois qu’à servir les intérêts des capitalistes qui pensent avoir trouvé le bon filon pour épuiser encore plus les ressources naturelles, au nom d’une pseudo préservation de l’environnement.

Urgence environnementale : protégeons nos biens communs

L’enjeu est de préserver toutes les forêts à un niveau mondial puisqu’elles sont essentielles pour faire face au dérèglement climatique en absorbant des quantités importantes de CO2. Toutefois, les forêts ne peuvent stocker indéfiniment du carbone, sinon cela voudrait dire que le nombre d’arbre ne doit cesser d’augmenter. La vraie solution c’est de réduire significativement le trafic aérien. Cela ne peut se faire sans combattre la bourgeoisie et son système capitaliste qui luttera pour préserver la croissance du transport aérien et des industries qui en dépendent.

L’urgence écologique réclame une réponse de rupture avec le système capitaliste alors organisons-nous et mobilisons-nous à Pau et partout ailleurs contre les projets industriels dans nos forêts !

 

Depuis le 1er juin, un navire de la Freedom Flotilla vogue vers Gaza, dans le but de briser le blocus imposé par Israël. L’UCL soutient cette initiative : face au génocide à Gaza, nous devons maintenir et amplifier toutes les actions de lutte et de solidarité pour la Palestine.

Le 1er juin à midi, le voilier La Madleen de la Freedom Flotilla, la Flottille pour la liberté, a quitté le port de Catane (Sicile) en direction de Gaza. Son but : briser le blocus illégal imposé par Israël et faire entrer de l’aide humanitaire vitale dans la bande de Gaza. À son bord, une douzaine de volontaires, venu·es de sept pays différents : militant·es, membres d’équipage, journalistes, médecins et ingénieurs, engagé·es pour la libération de la Palestine et contre le Génocide à Gaza.

Dans un contexte où la criminalisation du mouvement de solidarité avec la Palestine s’intensifie, il est du devoir de notre camp social de soutenir toutes les initiatives courageuses qui redonnent souffle à la lutte du peuple palestinien et à la justice internationale.

Depuis le 9 octobre 2023, l’état colonial d’Israël a décrété un « blocus total » de Gaza, coupant nourriture, eau, carburant, médicaments et électricité. Après une légère réouverture le 21 octobre 2023, la fermeture complète a été réinstaurée le 2 mars 2025 : plus aucune aide n’entre à Gaza, et ce, depuis trois mois. C’est la plus longue interruption humanitaire de l’histoire du blocus, une accélération dans la concrétisation de l’entreprise génocidaire d’Israël.

Briser ce siège est un acte de résistance et de solidarité extrêmement risqué pour les militant·es internationalistes. Déjà en 2010, des commandos israéliens avaient pris d’assaut les navires de la première Freedom Flotilla. Plus récemment, en mai 2025, le navire Conscience, embarquant entre 16 et 30 militant·es des droits humains et de l’aide humanitaire, a été attaqué par des drones israéliens en pleine mer, au large de Malte. Une agression commise en toute impunité, dans un silence glaçant. Un silence qui, justement, nous appelle à nous lever.

L’UCL exprime tout son soutien à la Freedom Flotilla. Nous appelons chacun·e à se mobiliser, à faire entendre sa voix, à regarder vers la mer. Car plus nous serons nombreux·ses à suivre et soutenir cette action, plus nous contribuerons à la protéger. Mais regarder ne suffit pas, il nous faut continuer à agir et lutter contre la complicité de l’état français, contre l’impunité de l’impérialisme israélien et œuvrer à l’isolement politique et diplomatique d’Israël. Pour la levée immédiate du blocus, pour la fin du génocide à Gaza, pour la justice et la liberté en Palestine.

 

Notre mensuel #AlternativeLibertaire de mai (n°360) est toujours disponible :

Mort du Pape, Corruption de l’Etat, Repression et «guerre à la drogue», Antimilitarisme, Vie de la fédération, VSS et Inceste, Mois des fiertés 2025, etc.

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