Bah en ce qui me concerne, les slogans que je vois au rond point local, c'est contre l'OTAN et contre les vaccins, ça fait pas super envie comme foule.
On ne s'est jamais arrêtés, même pendant l'épidémie. Mais on n'a plus le droit de se mettre sur le rond-point", regrette cette femme de 60 ans en invalidité. Autour d'une table improvisée et d'un thermos de café, ils sont une douzaine à se tenir chaud, samedi 28 octobre, en évoquant les prix de l'essence, la difficulté à remplir le panier de courses ou encore l'espoir d'une réforme démocratique. "On est en dictature", tonne Kléber*, qui ne masque pas sa colère envers Emmanuel Macron.
Du coup, c'est quoi la différence avec le bar PMU du coin, à part que c'est pas chauffé?