oeil

joined 3 months ago
[–] oeil@jlai.lu 3 points 10 hours ago (1 children)

J'ai de la peine de t'avoir fait de la peine maintenant...

[–] oeil@jlai.lu 3 points 11 hours ago* (last edited 11 hours ago) (3 children)

Depuis que je peux plus manger de pain au chocolat, je suis devenue chocoholique. #confessionintime

[–] oeil@jlai.lu 4 points 12 hours ago (1 children)

Sachant qu'apparemment, on est senior dès 45 ans selon les cabinets de recrutement...

[–] oeil@jlai.lu 4 points 18 hours ago (1 children)

Je comprends tout à fait pour les parfums ahahah. Par contre, theory crafting ? Du genre, aujourd'hui je veux dire au monde que je suis en colère, donc je vais mettre telle couleur avec telle matière ?

[–] oeil@jlai.lu 4 points 19 hours ago (1 children)

J'aime bien les petits objets aussi mais pas forcément ceux de marques / studios, etc. Pour les vêtements, le plus compliqué c'est les chaussures (quoique j'arrive encore plus ou moins à m'en sortir) ou les sacs à dos je trouve.

[–] oeil@jlai.lu 4 points 21 hours ago* (last edited 20 hours ago) (7 children)

En même temps c'était facile :

  • je suis pas super fan des goodies ni d'exposer mon "identité"
  • je suis le genre de personnes qui achète des vêtements sans marque ou qui les découd si elles sont visibles. Le coût des campagnes publicitaires est déjà incluse dans le prix, je vais pas en plus faire de la promo gratuite oh !

D'ailleurs je suis curieuse de savoir ce qu'en pense quelqu'un qui aime la sape comme @Skunk@jlai.lu.

Perso, le pire que j'ai vu comme pratique, c'est les entreprises qui te vendent des patrons et de la laine pour le tricot, mais aussi l'étiquette avec le nom de la marque que tu peux coudre toi-même sur le sac, vêtement etc. que tu viens de tricoter. Incroyable.

Exemple ici.

[–] oeil@jlai.lu 2 points 1 day ago* (last edited 1 day ago) (1 children)

Mmh je pense qu'il y a différents sujets dans ta question. Je vais répondre de manière un peu terre à terre désolée :) Mais pour ce qui est de la valeur affective ou sociale, ça ne se mesure pas avec de l'argent, mais avec des mots, des gestes, des actions, la reconnaissance, etc. Dans un cadre professionnel, c'est différent bien sûr puisqu'il y a rémunération. Mais déjà, pour ta valeur en tant que modo et animateur, tu peux te dire qu'une membre qui passe devant une vitrine avec des carnets Snoopy et qui prend une photo car ça lui fait penser au Snoopy de jlai.lu, c'est pas mal.

[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago

Il a changé de style bolchegeek !

[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago (3 children)

Laisse pas le capitalisme décider de ta valeur Snoopy ! •`_´•

[–] oeil@jlai.lu 7 points 1 day ago* (last edited 1 day ago)

Elles ont vachement évolué les baguettes de sourciers dis-donc.

Par contre, son équipement podologique me deçoit.

[–] oeil@jlai.lu 4 points 1 day ago (5 children)

M'enfin, y'a rien de plus précieux que la liberté.

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submitted 1 day ago* (last edited 20 hours ago) by oeil@jlai.lu to c/artdesign@jlai.lu
 

L'association Les amis de l'Imprimé Populaire organise des ateliers, publie des brochures tuto et des fanzines.

Le dernier en date parle de l'histoire de l'imprimerie populaire à la Réunion. Il peut être commandé auprès de l'association en version papier (22 € + frais de ports) ou sera prochainement disponible en pdf gratuitement.

Le sommaire ici : https://imprimepopulaire.fr/wp-content/uploads/2025/05/imprimarron_sommaire-1444x2048.jpg

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/19758886

Puisque @snoopy@jlai.lu nous partageait récemment son premier tatouage, et que @sphks@jlai.lu se posait la question du lien entre droit et tatouage l'année dernière, je relaie ce nouveau numéro de la revue scientifique La Peaulogie. Les articles sont lisibles librement en ligne !

Le nouveau numéro de La Peaulogie explore la fascinante rencontre entre l’art du tatouage et les enjeux juridiques qui l’entourent. Du statut de l’encre à la propriété des motifs, des contraintes sanitaires aux libertés individuelles, ce volume interroge les frontières entre corps, norme et expression.

Entre art et corps, norme et expression, le tatouage interroge les frontières du droit, de l’histoire de l’art et de la société. Œuvre de l’esprit ou simple ornement ? Marque intime ou propriété artistique ? Loin d’être anecdotique, le tatouage engage des débats essentiels : propriété intellectuelle, intégrité du corps humain, statut de l’artiste, fiscalité, exposition, transmission, muséification…

Ce numéro collectif est issu de cette journée. Il rassemble les contributions de juristes, historiens de l’art, sociologues, médecins, artistes et tatoueur·euses.

 

Puisque @snoopy@jlai.lu nous partageait récemment son premier tatouage, et que @sphks@jlai.lu se posait la question du lien entre droit et tatouage l'année dernière, je relaie ce nouveau numéro de la revue scientifique La Peaulogie. Les articles sont lisibles librement en ligne !

Le nouveau numéro de La Peaulogie explore la fascinante rencontre entre l’art du tatouage et les enjeux juridiques qui l’entourent. Du statut de l’encre à la propriété des motifs, des contraintes sanitaires aux libertés individuelles, ce volume interroge les frontières entre corps, norme et expression.

Entre art et corps, norme et expression, le tatouage interroge les frontières du droit, de l’histoire de l’art et de la société. Œuvre de l’esprit ou simple ornement ? Marque intime ou propriété artistique ? Loin d’être anecdotique, le tatouage engage des débats essentiels : propriété intellectuelle, intégrité du corps humain, statut de l’artiste, fiscalité, exposition, transmission, muséification…

Ce numéro collectif est issu de cette journée. Il rassemble les contributions de juristes, historiens de l’art, sociologues, médecins, artistes et tatoueur·euses.

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submitted 2 days ago* (last edited 2 days ago) by oeil@jlai.lu to c/forumlibre@jlai.lu
 

Cymbirhynchus macrorhynchos (Gmelin, JF 1788)

Photo trouvée ici.

Plus d'infos sur cette espèce sur Avibase.

Pour entendre son chant : Xeno-canto.

 

https://universeodon.com/@lacochran/114528713424131272

Coereba flaveola (Linnaeus, 1758)

Autres noms : Sucrier à poitrine jaune, Sucrier falle jaune, Sucrier cage (Français)

Présents notamment en Guadeloupe, Martinique, Guyane française, Saint-Barthelemy, Saint-Martin.

Plus d'infos sur l'espèce sur la page de l'Inventaire National du Patrimoine Naturel

 

A Callelongue, Marseille, s'ouvrait au public le 1er juillet 1967 le téléscaphe, dans le cadre de l'opération "20 000 lieues sous les mers". Le reportage de l'INA, via caméra embarquée, suit les premiers visiteurs dans leur périple subaquatique : l'embarcation à bord des cabines sphériques, la plongée progressive dans la baie, et la remontée.

Dans les années soixante, alors que le tourisme littoral est en plein essor, l'accès au monde sous-marin reste un privilège, même si masques et tubas se généralisent. Les films du commandant Cousteau ont contribué à susciter la curiosité. On assiste là à l'une des premières tentatives pour permettre à tous d'y accéder.

D'après la définition du Petit Robert 2007, le téléscaphe est un " téléphérique sous-marin composé de cabines de plexiglas transparentes soutenues par un câble ". C'est en 1966 que Denis Creissels, ingénieur aux Téléphériques du Midi et son ami James Couttet, champion olympique de ski, eurent l'idée de créer un téléphérique sous-marin. Un an plus tard, le 1er juillet 1967, le téléscaphe de Callelongue ouvrait les portes de ses quatre cabines de couleur jaune au public. Chacune d'elle pouvait accueillir six personnes assises et se composait d'une partie supérieure équipée de six vitres ainsi que d'une sorte de chariot métallique servant de "lest". La cabine s'ouvrait par le haut en coulissant sur un axe central. Pour un total de douze francs, les visiteurs découvraient les fonds marins au cours d'une traversée de dix minutes, à dix mètres sous l'eau, sur une distance de 500 mètres aller-retour au pied du Cap Croisette. Un plongeur assurait la sécurité en nageant près de la cabine, prêt à intervenir en cas d'urgence pour la ramener à la surface en la désolidarisant de son socle. Cependant l'histoire du téléscaphe de Callelongue fut brève. En effet, un an à peine après sa mise en service régulière, le télégraphe ferma par manque d'argent et de soutien. L'aventure aura coûté deux millions de francs et aura permis à 31 000 personnes de profiter de la découverte de la faune sous-marine.

Aujourd'hui, quelques vestiges de cette expérience éphémère subsistent au bout de la route de la calanque de Callelongue : les restes de la station d'accueil et de grandes roues rouillées. Des projets de réhabilitation du téléscaphe avaient été évoqués dans les années 1990 mais ils n'ont jamais abouti. Aujourd'hui, cet accès touristique au monde sous-marin s'est généralisé de diverses manières. Dans la plupart des ports, ce sont les aquascopes, sorte de soucoupes flottantes à larges hublots, qui permettent aux visiteurs la promenade sous-marine à faible profondeur.

Ely Boissin, Mystères et Histoires des Calanques, Ed. Pour le livre, Marseille, 2002

 

Hipparchia fidia (Linnaeus, 1767)

Appelé également Chevron blanc ou Faune.

Plus d'infos sur cette espèce : https://inpn.mnhn.fr/espece/cd_nom/53378


Photographie : Marcus Rimpel

 

A fossilised early bird/late dinosaur, the Chicago Archaeopteryx under UV light, to show soft tissues alongside the skeleton.

Narrowing down the transition from dinosaur to bird. And anyone who has seen a group of chuck chasing a mouse in their pen can underdstand that the 'raptor' tendency is still there.

Photograph: Delaney Drummond

Un fossile d'oiseau primitif/dinosaure tardif, l'Archaeopteryx de Chicago, sous lumière UV, montrant les tissus mous à côté du squelette.

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Le Dictionnaire universel des créatrices (www.dictionnaire-creatrices.com)
submitted 5 days ago* (last edited 5 days ago) by oeil@jlai.lu to c/feminisme@jlai.lu
 

Mi-épopée, mi-histoire, puisse ce Dictionnaire universel, cette geste à la gloire des femmes, participer à l'éducation de la postérité.

Antoinette Fouque

Un dictionnaire encyclopédique pionnier qui entend recenser les créatrices connues ou encore méconnues qui, individuellement ou ensemble, ont marqué leur temps et leur postérité, ont ouvert des voies nouvelles, enrichi la civilisation.

Son chantier d'étude couvre tous les continents, toutes les époques et l'ensemble des domaines de l'activité humaine et il s'étend des artistes aux femmes politiques, en passant par les sportives, les interprètes, les conteuses, les artisanes, fussent-elles anonymes.

Plus de 12 000 entrées biographiques, accompagnées de références bibliographiques et mises à jour régulières.

Articles gratuits ou accès complet à la base de données via le pass Bnf.

Illustrations : Sonia Rykel

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